Pour démarrer la saison nouvelle, Short Screens promet de réveiller la bête qui sommeille en vous en vous proposant une séance consacrée à la relation étroite qui lie l’homme et l’animal. Une ménagerie de six courts métrages qui posent un regard diversifié sur la prétendue suprématie de l’un sur l’autre. Foi d’animal !
Short Screens vous propose un avant-goût cinématographique des vacances et vous embarque, le temps d’une soirée, à bord d’une croisière aux quatre coins du monde avec 9 courts métrages surfant sur les flots de la découverte et de l’évasion.
* A ne pas manquer! Dernière séance avant la pause estivale de juillet-août! *
Enveloppe charnelle, à la fois fragile et résistante, aussi bien sublimée et idéalisée que maltraitée et humiliée. Le corps comme moyen d’expression, comme vecteur d’émotions ou comme outil de séduction est en perpétuelle évolution. Souvent libérateur de l’inertie grâce au mouvement, il peut au contraire se révéler comme étant la plus ingrate des prisons. Ce mois-ci, Short Screens s’est penché sur la question de sa représentation avec des courts métrages qui traitent de la chair comme source d’inspiration.
En présence de Laura Wandel, réalisatrice des Corps étrangers.
Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre, aussi bien indépendante, émancipée et active que mère et maîtresse, la femme moderne endosse ses différents rôles avec affirmation, n’hésitant pas à fouler hors des sentiers battus du modèle patriarcal fatalement effeuillé. Pour sa séance d’avril, Short Screens se découvre d’un fil et vous dévoile huit regards francs et effrontés, révélateurs de l’identité féminine d’aujourd’hui.
Simple constat ou dénonciation virulente, le cinéma du réel n’a de cesse de poser un regard sur le monde en (r)évolution. Soucieux de montrer des œuvres engagées et porteuses de messages forts s’inscrivant dans la lignée des huit objectifs du Millénaire, Short Screens s’associe au Millenium International Documentary Film Festival pour sa séance de mars et vous réserve une carte blanche exceptionnelle de neuf films entièrement consacrée au court métrage documentaire.
Divagation de l’esprit ou délicieuse contemplation, la rêverie s’offre à nous tel un océan qui dort et c’est âme et corps que nous y plongeons sans aucun remords. Huit courts métrages, instantanés éphémères de fantasmes inavoués, d’utopies réinventées et de douces nostalgies vous permettront, le temps d’une séance, une belle échappée cinéphilique. En février, Short Screens n’attendra pas Morphée pour vous faire rêver.
L’amour est un oiseau si frêle dont nul ne peut se passer et c’est bien en vain qu’on le scelle au moment où il rêve de s’envoler. Pour rendre hommage à cette vague irrésolue, Short Screens a parcouru les chemins de traverse des amours imaginaires et vous propose huit courts métrages, coups de cœur aux battements tragi-comiques.
Le dimanche 21 décembre, à l’occasion de la première édition belge du Jour le plus court, Short Screens, le rendez-vous mensuel du court métrage, vous convie à 3 séances spéciales au Cinéma Aventure, proposant des sélections de courts métrages belges et internationaux, tous genres confondus, en présence des réalisateurs.
Au programme, vous pourrez découvrir à 11h, une séance « Kids » avec cinq courts métrages d’animation destinés aux -10 ans mais ouverts à tout amateur du film animé. Ensuite, rendez-vous à 17h pour une séance « Best of Short Screens » qui rassemble un florilège des coups de cœur de l’équipe et du public. Pour terminer le solstice en beauté, nous vous proposons une séance à 19h30 entièrement « Made in Belgium », dédiée aux courts métrages issus du plat pays.
Ce mois-ci, Short Screens accorde sa chatoyante programmation aux couleurs de l’automne en vous proposant une séance « Feeling Good » composée de pas moins de 9 courts métrages comiques et légers, burlesques et absurdes, grinçants et hilarants. Venez profiter d’un pur moment de détente et de bonne humeur avec en invité vedette un Charlot joliment éméché en cure thermale. En présence de Samuel Lampaert.
À l’approche de la saison des fantômes et des citrouilles, Short Screens met le cinéma de l’étrange à l’honneur. Venez tressaillir devant notre sélection de fictions mêlant suspense, gore, fantastique et absurde ! Frissons garantis en compagnie de Georges Méliès, père des effets spéciaux, Roland Lethem, appelé le plus japonais des cinéastes belges, et une très jeune Cécile de France dans un rôle plutôt… sanglant ! En présence du réalisateur Roland Lethem.
L’équipe de Short Screens est impatiente de vous retrouver pour une rentrée cinématographique riche en courts métrages avec une séance 100% locale !
Le cinéma du Plat Pays résiste aux catégorisations, mais laisse pourtant transparaître une belgitude bien palpable.
Du brûlot surréaliste des années 30′ de Monsieur Fantomas aux objets animés non identifiés de Carl Roosens, Short Screens vous emmène de part et d’autre de la frontière linguistique et vous invite à découvrir huit pépites du court métrage belge sur grand écran.
Des accompagnements au piano des films muets aux bandes originales mythiques, musique et cinéma ont toujours entretenu un rapport fusionnel. En ce mois de juin qui célèbre la fête de la musique, Short Screens vous propose sa dernière projection avant une pause de deux mois. En attendant la reprise des séances mensuelles en septembre, venez apprécier une programmation composée de sept courts métrages qui sont autant de variations mélodieuses et rythmées sur ce langage universel.
Au menu, ce mois-ci, Short Screens a choisi huit petits mets exquis aux saveurs sucrées-salées. La « bouffe» sous différentes formes, de la poésie du marché matinal à l’absurdité de la consommation, d’un repas gargantuesque à la délectation du thé en Angleterre. Une 38ème programmation qui invite à une aventure culinaire et qui promet de titiller vos papilles gustatives. Gourmets et gourmands, amateurs de bons courts, venez consommer cette séance sans modération!
Physiques ou psychologiques, symboliques ou littérales, les frontières sont des délimitations artificielles et floues vouées à se transformer sans cesse. Quand elles ne sont pas source de conflits, elles sont une invitation au voyage, une découverte de l’autre côté du miroir. Le temps d’une séance, Short Screens a rassemblé sept courts métrages témoignant de belles traversées aux lisières des genres et des réalités.